2023
(H)être pourpre, une esquisse, 1953 – 2023 – film en vidéo 8’17
13 décembre – 31 mars 2024 – Les chemins de la nature
musée départemental maurice denis saint-germain-en-laye
– conception, prises de vue, montage : caroline thion-poncet
– illustration musicale Fall de Kaija Saariaho, 2020,
interprété par Anne Bassand extrait de de anima éditions VDE- GALLO 2022
– panoramique d’ouverture : Laurent Thion
Au crépuscule, le (H)être pourpre est le dernier des grands arbres du jardin du Prieuré à s’assombrir lorsque la lumière du jour décline tout au long de l’année. Le feuillage dense rouge pourpré s’accroche aux branches jusqu’à l’arrivée des nouvelles feuilles du printemps
Certaines personnes, à l’image d’arbres marcescents, conservent très longtemps d’anciens souvenirs, réminiscences du passé, qui disparaissent au terme de longues saisons de repos végétatifs ou de saisons sèches. À la tombée du jour, enfant, j’allais m’assurer, depuis la petite terrasse sous les toits, de la présence du (H)être pourpre qui, silencieux ne répondait pas à mes interrogations.
Un demi-siècle plus tard, je ressens combien la notion de durée et d’échelle du monument naturel vivant est si peu comparable à celle de l’être humain !
– Ronde bosse, récit multimédia (suite)
– 14 octobre : soirée Sophie Taeuber-Arp
Initiatrice et organisatrice de la soirée d’hommage aux multiples expressions d’art vivant et visuel de Sophie Taeuber-Arp s’inscrivant dans le programme 2023 année Sophie Taeuber-Arp.
Artistes et d’historiennes célèbrent la mémoire et l’œuvre d’une créatrice qui traversa les avant-garde en relançant en permanence de nouvelles formes, idées.
2021
– Ronde bosse, récit multimédia (suite)
2020
– Autels : Domination, Capitole, Black Athena
– Ronde bosse, récit multimédia (suite)
– Organisation de la conférence Marina Tsvetaeva et l’Exil de Youlia Sioli à la médiathèque La Buanderie de Clamart
2019
– Ronde bosse, récit illustré multimédia (suite)
– Organisation de la conférence :
Paulette Nardal, une intellectuelle engagée, de Maître Catherine Marceline à la mairie annexe de la Fourche à Clamart
2018
– Ronde bosse, récit illustré multimédia (suite)
2017
– Matrimoine#2, Black is Beautiful : hommage à Paulette et Jeanne Nardal.
– Ronde-bosse : récit illustré multimédia
2016
– Lancement de l’association Cybèles & C°.
– Conception-réalisation de l’exposition documentaire : Louise Bourgeois, Dora Maar, Marina Tsvetæva, Sophie Tæuber-Arp, un Matrimoine à Clamart. voir l’exposition.
– Invitation de 24 artistes et auteurs à rendre hommage à Bourgeois, Maar, Tsvetæva, Tæuber-Arp, voir les contributions.
– Regard pour René Crevel, Gueorgui Efron, Max Jacob, Vladimir Maïakovski., vidéo, 3,01, août 2016. Voir la vidéo.
– Otte-Matta-Bourgeois, un entretien improvisé de Ramuntcho Matta sur l’histoire d’Otte, vidéo,5,25′, août 2016.
2014
–Tocco Leggero da Trieste, vidéo.
–L’INGENIUM, Paris LIB’ : un projet ! Candidature au Prix COAL 2014.
dossier disponible ici.
– Satura(c)tion/, Place Balard. En réaction à l’emprise de la voiture sur la ville.
–Fort d’Ici, regard sur l’édification d’un nouveau quartier dans l’enceinte historique du Fort d’Issy-lès-Moulineaux.
2013
↔ 5-11octobre
Prise de vues à Trieste et Venise de Tocco Leggero, (Frôlements), vidéo.
En respectant l’intégrité de figurants anonymes, sont capturées en intérieur et dans la ville des images de visage et de corps, immobiles ou en mouvement.
↔ 7-29 septembre
Exposition collective Hors Limites.
– Installation de VAN GOGH dérivé.
↔ août
> VAN GOGH dérivé, montage.
↔ juin
> – Séminaire / introduction au living art /
Le Cube, centre de création numérique, Issy-lès-Moulineaux.
> – Numérisation de la bande vidéo magnétique « À vos rêves, en Joue, Feu ! » 1971.
par Pic Sound, Bruxelles, http://www.picsound.be
↔ mai
> Prises de vue de VAN GOGH dérivé, Amsterdam.
In progress :
> Mondial 2012, vidéo.
> Paris-Varsovie-Moscou, 1994-2014, vidéo.
> Billancourt, bille en tête, vidéo. Hommage à des étrangers extraordinaires
> Cacophonies, Holéosons & holéogrammes low et hightech.
Des bribes de conversations sont enregistrées à la dérobée. La transformation de ce matériau, par les effets techniques qu’offre le montage numérique, complètera ce jeu d’approche. En ralentissant des mouvements ou des mimiques, émergent de micro-chorégraphies. En retravaillant des fragments de conversations en dialecte vénitien et triestin se créent des rythmes sonores… Si le respect de la chronologie et le jeu d’effets techniques contredisent l’irréversibilité du temps, ce que l’on apprend du décalage avec l’Histoire d’une ville éclaire les limites du voyage. Il est impossible de retrouver la Trieste de Joyce, Canetti, Svevo, mais subsiste le frôlement de visages et de corps approchés du regard.